Jeux de rôles > le règne de l'hiver

Absalom et les tumultes de kenishiro'n'Co

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Elystor:
Cette nuit comme toutes les autres a été agité...

Mon sommeil n'est jamais reposant...toujours a faire des rêves étranges....de choses et d'endroits que je ne connait pas....

Celui de cette nuit était particulièrement étrange.

Une vallée entouré de deux montagnes, un chemin la traverse. Je dois le prendre, je ne sais pas encore pourquoi...mais au bout de cette voie quelque chose ou quelqu'un m'attend.
C'est alors qu'un vent se lève face à moi. Pour la première fois depuis longtemps je ressent le froid.
Le souffle devient plus violent et des éclats de glaces frappe mon corps, j'ai du mal à avancer face à cette force naturel.
Je me penche pour essayer d'avoir moins de prise au vent mais c'est comme si quelqu'un me poussait en sens inverse.
J'entends un murmure dans mon oreille, je reconnait sa voix douce et protectrice qui m'a été arraché si violemment.
"Le froid blanc arrive...prépare toi Ken!"

Je me réveille en sursaut....des gouttelettes de sueurs froides perlent de mon visage.

Pourquoi....?

Pourquoi son image revient me hanter?

Je me penche vers la lucarne qui donne dans la rue en direction du port comme espérant revoir une chevelure noir de jais tourné au coin d'une rue. Se sera seulement les premiers rayons de l'aube qui m’accueilleront. Mais ce rêve n'était pas comme les autres, je me remémore ce sentier sinueux entre les montagnes et ce froid qui me fait encore frissonner....

Ainsi pendant encore quelque seconde, alors que la lumière du jour gagne son combat contre les ténèbres de la nuit je reste figé comme encore paralysé par le "froid blanc".

Elystor:
Les rites doivent être respecté et la première heure après le levé est dédié à l'entrainement.

Ken comme à chaque fois mimait les gestes, les katas du Kurogakui sont rapides et souples.
D'abord celui du Kuro no ken, puis yoru no suraisu et enfin Yami no Hyōkō.

Tout cela en répétant les mantras des moines jurant de dédié leur vie à chasser les démons.

Une fois terminer, il s'équipa de ses atours pour cacher son apparences et se dirigea à la taverne en trouvant dans un angle un coin ou en se positionnant face au mur ou il pourrait enlever son masque et manger sans être vue.

Obligé de retirer son masque pour manger une soupe matinal, il fut surpris quand Bakounine s'installa en face de lui.
Pour la première fois, il vit le visage de Ken en entier.
Si ses expressions faciales n'était pas si inhabituelles et candides, il pourrait être presque beau.

Dès qu'il eut finit Ken remis son masque et invita le scalde à partir.

MAGORAN:
par la barbe des géants du froid!
t'as une bonne trogne bleue mon ami!
prêt pour le voyage? apparemment Bakounine ne se formalise pas de l'étrange humanoïde qui déjeune à ses cotés.

Elystor:
L'aubergiste payé, nos deux compagnons prirent le chemin des rues labyrinthique d'absalom.

Ken plus par habitude que par méfiance garda un œil vigilant sur tout les endroit emprunter, comme pour se créer une carte graver dans sa tête.
Au bout de quelques dizaines de minutes ils arrivèrent face à une petite maison de ville mitoyenne des deux cotés avec une plaque gravé sur la façade.
"Bazilius Emering"
"Maitre artisan et barde de l'académie des arts d'absalom"

Ken frappa à la porte trois fois et attendit une réponse.
Une voix chantante répondit:
"Entrez! entrez, je range mes outils et je vous retrouve dans le petit salon"

Ken hésitant regarda Bakounine comme pour chercher une approbation des coutumes local.

MAGORAN:
Bakounine lança un regard interrogateur puis s'avança et ouvrit la porte, et invita ken du regard à entrer.

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