Le lieu est animé ont entend beugler et rire en tout coins.
Même si mon apparence ni ma tenu n'est commune, personne na l'air de se soucié d'un "homme" à la peau bleu tatoué sur tout un coté. Mes seuls habit sont mon harakami au ventre et mon bas de kimono noir.
J'avais décidé par sécurité de garder mes katana avec moi, mais je les ai enroulé dans un linge pour ne pas donner envie à des envieux. Il faut dire, que je n'ai vu que des armes de piètre qualité depuis notre arrivé. Ce sont de bon bâtisseurs mais de piètre armuriers qui vivent au bout du monde. Mon regard vague de table en table, je ne peux m’empêcher de vérifier si de potentiels ennemies sont présent...Le mal peut se cacher sous bien des traits, j'en ai fait l'expérience et l'on ne m'y prendra plus. En étant aussi discret qu'un phare sur un port quelques regards peu amical se tourne vers moi. Là, un coup me tape les cotes.
Le vieux Luang me fait comprendre d'un geste de la main de ne pas m'en faire. Il sourit de sa bouche édentée aux marins déjà prêt à en découdre, cela semble calmer la situation.
Ah! cet ancien connait bien des techniques étranges...
Mes collègues trouvent finalement une table dans un angle près des cuisines. Je ne comprend pas trop ce que disent nos voisins, je ne maitrise pas encore leur langage correctement.
Une femme d'un certain age vient nous servir une boisson jaunâtre et à la mousse blanche, tout le monde trinque....je ne veut pas les décevoir et j'accompagne le geste. Le gout est étrange mais pas mauvais.
Luang, me demande qu'est ce je compte faire maintenant, car même si les étrangers sont commun sur cette ile nos yeux plus fin se remarque facilement.
Il m'explique que si jamais j'ai besoin, il sait qu'un "barde" (je ne sais pas ce que veut dire ce mot, mais cela ressemble à une profession...) qu'il connait aime apprendre de nouvelles langues et que peut de gens peuvent enseigner le Tian Xiatai. Ainsi se serait aussi une façon de perfectionner mon "commun".
Ne sachant pas trop quoi faire, je choisis quand même de prendre la bout de papier avec le nom et l'adresse de noté.
Les choppes s'enchainent et nous avons finalement droit à une fricasser de poissons avec de nombreux légumes qui me sont inconnues.
Le crépuscule apparait au coin dans la lucarne et donne un spectacle sublime avec tout c'est bateaux sur le port.
https://www.google.com/imgres?imgurl=https%3A%2F%2Fcache.desktopnexus.com%2Fthumbseg%2F1243%2F1243198-bigthumbnail.jpg&imgrefurl=https%3A%2F%2Fabstract.desktopnexus.com%2Fwallpaper%2F1243198%2F&docid=TKTWlG4EYM6V-M&tbnid=K4USJca84QYfGM%3A&vet=10ahUKEwj5mMH_z4LhAhVFzBoKHUJ1CrsQMwhEKAUwBQ..i&w=450&h=311&client=firefox-b-d&bih=966&biw=1920&q=port%20%2B%20fantasy%20%2B%20sun&ved=0ahUKEwj5mMH_z4LhAhVFzBoKHUJ1CrsQMwhEKAUwBQ&iact=mrc&uact=8#h=311&imgdii=PVGjuql7CwU9lM:&vet=10ahUKEwj5mMH_z4LhAhVFzBoKHUJ1CrsQMwhEKAUwBQ..i&w=450Je me dit que je pourrais me plaire ici.... peut être leur boisson à de bon effets....absorber par ce moment de féliciter je me perd dans mes pensées.
C'est là que je la voie... sa longue chevelure noir de jais et son yukata blanc s’engouffre dans une ruelle plus loin.
Non ce n'est pas possible.... elle est sensé être...
D'un bon je me lève du banc le faisant tomber ainsi qu'un de mes collègue derrière moi. Je reste bloquer sur cette "illusion", oui ce ne pouvait être que cela...et si.... et si c'était elle....je dois en avoir le cœur net, je m’apprête à partir quand une main charnu se pose sur mon épaule tatoué.
Un gaillard de presque une tête de plus que moi avec la chemise trempé me fixe méchamment, il semblerait que la chope de mon ami se soit renversé sur lui en tombant.
Il prononce une suite de mot que je ne comprend pas...sa mâchoire se sert, je le sent préparé un coup direct.
Son bras droit par comme un flèche vers mon visage, mais les années d'entrainement font réagir mes muscles instinctivement. Mon bras gauche part son coup le laissant continuer sa course derrière mon épaule, mes jambes bouge toutes seule et me décale légèrement sur sa gauche. D'un coup sec du gauche je bloque son épaule sur la table, il à maintenant la mâchoire dans une assiette sale. Je sent la colère monter.
L'espace d'un instant j'entends au fond de moi...."OH, iL le MériTe...J'aI FaIm...utIlIsE mOn PoUvoIr..."
Je sent l'énergie électrique monter dans ma main gauche, le courant part de mes marques sur l'épaule et descend le long du biceps pour venir claquer entre mes doigts....dans ma mains des étincelles et des flux bleu saute de doigts en doigts...un voile noir envahit ma vue.
Le vacarme se tue immédiatement et l'auberge semble figé.
Seul les crépitement de mon sort tinte le rythme.
Le tenancier derrière le bar bégaie :
"Du balaie! on veut pas de soucie avec le Varlokkur ici!"
Ces mots me sorte de ma transe, et pour la première fois j’aperçois de la déception dans les yeux du vieux Luang.
Sans trainer je me fait tirer hors des lieux par mes compères qui me traine dans un coin plus tranquille. L'ancien me dit
"Gamin, ici la magie c'est pas interdit mais....faut faire intention..."
Je ne comprend pas, et mes traits perplexe semble avertir mon interlocuteur
"Il y a une organisation ici le Varlokkur il chasse ceux qui utilisent la magie pas comme il faut."
"Tu t'es mis dans la merde gamin...qu'est ce qui ta pris?"
Je ne sais pas quoi répondre, et je comprend que les lois ici ne sont peut être pas si différente de chez moi.
Luang reprend:
"Bon, ont peux pas te garder avec nous désolé...vas chez mon ami et dis lui que c'est Yuan griffe de jade qui t’envoie"
Je reste un peu éberlué, ne réalisant pas...il me met un léger taqué sur la tête qui me fait reprendre mes esprits.
"Gamin, t'a compris?"
J'acquiesce bêtement de la tête.
"Bon alors, si ont nous posent la question les gars ont la trouvé sur le port et vu qu'il semblait de notre patrie ont lui a payé un coup à boire. Ont sait pas qui c'est, ont sait pas ou il est allé, on sait rien..."
Tout les matelot hoche d'un mouvement commun.
Luang fouille dans son sac qui parait bien plus profond qu'au premier abord, il en sort un cape large et un masque blanc avec juste des trous au niveau des yeux.
"Met çà, c'est pas avec tes marques et ta peau bleu que tu vas passer inaperçue... et la masque c'est pour ta face de jeunot....allez prend et dégage!"
Je sentis bien que j'avais perdu ce qui se rapprochai le plus d'un père et je suis sur qu'au fond de lui ce vieux bougre était triste d'avoir perdu ce qui se rapprochai le plus d'un fils....
Sans perdre de temps, j'enfilai cette accoutrement bizarre et fila dans la ruelle ou je pensais l'avoir vu..elle...mais pourquoi ici? pourquoi maintenant?