[...]Au finalUn coup d'un soir, c'est non seulement un excellent apprentissage, mais aussi et surtout un solide plaisir en soi, et un format qui mérite d'être découvert et exploré. C'est très différent, à l'usage, d'une campagne au long cours et, après qu'on a pris ses marques, c'est pas moins fun. C'est moins profond mais plus intense. Ca ajoute un salutaire sentiment d'urgence qui pousse toute la partie vers l'avant et quand c'est bien fait, l'immersion qu'on rate parce qu'on passe moins de temps avec son PJ, on la récupère parce que le temps qu'on passe avec est vachement plus instense, lourd de conséquences.Bref, un coup d'un soir, c'est un peu redécouvrir le plaisir du jeu de rôles par le versant jeu : comme avec son Monopoly (ou, pour les plus gourmets, son Colons de Catane), on se dit "on jouerait bien ?", on sort le jeu pour un soir et ça redevient un plaisir ponctuel, pas un truc qui va durer des mois, voire des années.
Pour ceux qui ne connaissent pas ...
Sinon c'est pas un peu gros, le coup de l'analogie par le sexe pour essayer de motiver les gens à jouer à tes jeux ?
D'ailleurs LBB aura lieu dans un monastère de défroqués lors du crash d'un avion transportant des stripteaseuses...
pour être un peu moins con, pour une fois, je trouve surtout l'article très intéressant sur deux points : - voilà pourquoi jouer en asso est intéressant- voilà pourquoi il faut que les MJs se sortent les doigts du ... bouquin de 600 pages et réfléchissent à des one shots autant qu'à des campagnes. Les deux ont leur intérêt et pas seulement pour les joueurs.
à beaucoup (trop ?) réfléchir