Journal d'un naufragé
Jour 1
Je m'appelle Edouart de Lazaret, enrôlé en tant que Matelot pour rejoindre le nouveau monde, notre navire à fait naufrage en s'enquillant sur des récifs en pleine tempête. Nous y sommes rentrés toutes voiles dehors afin d'échapper à un navire anglais nous ayant attaqué puis à des pirates et cela à causé notre perte.
Dans notre malheur, nous avons eu la chance de nous échouer près d'une ile, facilement atteignable à la nage, cependant tout les survivants de l'impact ne parvinrent pas à arriver à terre, les requins parcourant les eaux de la région. Ainsi sur la centaine de marins lorsque nous avons levé l'ancre de Saint-Malo nous n'étions plus qu'une vingtaine. Le capitaine était mort comme la plupart des officier, ne restait que le second , le médecin de bord et le pilote . Tous le monde s'est effondré sur la plage et après une nuit agitée à cause de la tempête, le calme plat nous accueilli le lendemain. La plupart des membres d'équipages étant encore en état de choc, Mes compagnons ayant rejoint l'équipage à Saint-Malo en même temps que moi avons rapidement repris notre sang-froid et fait se ressaisir les hommes, très vite trois équipes se formèrent, une composé des meilleurs nageurs allant récupérer le plus de matériel possible dans le navire dirigé par mes 2 comparses, une autre fouillerait la plage pour récupérer tout ce qui pourrait s'être échouer durant la tempête, par exemple avec un peu de chance des survivants, et enfin je partis dans les frondaisons à la recherche d'une source d'eau potable et d'une forme d'abri naturel pour nous protéger des intempéries. Après seulement 1 ou 2 heures d'exploration dans la jungle dense, l'un des 2 hommes m'accompagnant s'effondra en hurlant, un examen rapide révèle ce que je craignais, morsure de serpent, cette île possédait une faune, et pas la plus docile. Aucun instrument pour traiter la morsure, et de toute façon j'ignore la bonne manière de le faire, un garrot rapide au dessus de la morsure et demi tour pour l'emmener voir le médecin. Lorsque je revins au camp de base, l'équipe envoyé sur le bateau avait déjà fait un premier aller-retour, ramenant les outils du médecin et des armes. Après les jurons du médecin m'expliquant comment il faut traiter une morsure de serpent et que le plus important est de le faire au moment de la morsure, je reparti dans les frondaisons, cette fois ci équiper d'une machette pour ouvrir un chemin. Et ce fut la bonne pioche, un ruisseau d'eau clair pour nous abreuver et des cavernes naturelles sur le flanc de la montagne au centre de l'ile. Retour sur la plage pour annoncé la bonne nouvelle, il semblerait que j'étais le seul à en avoir, sur le navire le capitaine, les autres officiers et le reste de l'équipage étaient soit mort soit disparus, mais avait quand même ramener le plus de matériel utiles, des armes des outils, des ustensils, des toiles, des cordes, du bois, en bref tout ce qui pouvaient être récupérer sur le navire, des tonneaux et des vivres. Et enfin le groupe explorant la plage alentour n'a trouvé rien d'autres que des cadavres noyés et en partie dévoré par les requins. Nous étions donc une vingtaine et ne serions pas plus.
Tout le monde est donc parti vers le cœur de l'île pour s'abriter dans les cavernes emportant ce qui pouvaient l'être, le reste sera récupérer demain.
Jour 2
Au petit matin, nous avons entendu un coup de feu au loin. Après être monté au sommet du volcan, nous avons réalisé la présence de deux minces colonnes de fumée. Pas de doutes, nous ne sommes pas seul sur cette île, avec un peu de chance ce sont des membres de notre équipages qui ont été emporté par les courants durant la tempête et ce sont échoué sur une autre plage de l'île, ou alors cette île est peuplé d'autochtones.
Armés et parés, nous avons de nouveau formé une équipe pour aller explorer cette région de l'île. Manque de chance après plusieurs heures de marche compliqué dans les broussailles,nous sortons des frondaisons pour tomber sur un feu de joie, dans lequel l'un d'entre nous à trouvé des ossements humain. Continuant notre exploration, nous tombons sur des marais infesté d'insectes et d'autres créatures enfouis dans la vase, impossible de continuer notre avancé sans un équipement adapté. Les moustiques sont particulièrement aggresifs par ici, d'ailleurs l'un d'entre eux m'a piqué.
Après être rentré au camp bredouille, nous avons récolté chassé et péché un peu afin d'économiser les vivres préservés, mais j'ai une terrible migraine qui commence à me taper sur le crâne. Les autres membres d'équipages ont ramené le reste du matériel laissé sur la plage pendant que nous étions partis, le second à donc annoncé un jour de repos pour tout le monde demain, bonne nouvelle pour ma migraine.
Jour 3
Je me suis révélé brulant et en sueur avec une migraine de folie, le médecin m'a dit que je n'avais rien d'anormal mais que je devrais prendre des anti-inflammatoires et des analgésiques, mais je suis sensé trouvé ca où ? Après une petite description du genre de plante ayant ses propriétés et plusieurs heures de recherche pénible à plusieurs, nous avons trouvé plusieurs plantes correspondant à nos besoins. Bien nous en face puisque plusieurs autres matelots commence à présenter les même symptômes. Et heureusement le traitement est efficace, après le traitement et une bonne journée de repos, ma fièvre est retombé et ma migraine a diminué, en tout ca suffisament pour ne plus me géner. Je suis donc de nouveau prêt pour le service.
Jour 4
Encore des coups de feu, et cette fois ils sont proches, pas le temps d'attendre qu'ils arrivent jusqu'ici, allons directement les intercepter. Nous partons à 5 armés jusqu'aux dents et prêt à en découdre. En approchant de l'orée de la jungle nous voyons enfin le combat, à la variété des insultes hurler en français, ont peu s'attendre à pouvoir communiquer avec l'un des camps, et ils sont attaqué par des sauvages. Mais après une inspection plus attentive, il s'agit des pirates nous ayant attaqués, leur navire finissant de bruler un peu plus loin. Tant pis, dans notre situation mieux vaut s'allier à des pirates que de se faire tuer par des indigènes. Arpès avoir pris les sauvages en tenaille, tué leur champion, et finalement les avoir mis en déroute, nous avons entamé les négociations avec le capitaine des pirates, enfin, surtout notre pilote, semblant bien connaître les codes et conventions de ce milieu. Après discussion entre leur capitaine et notre second, nous sommes venu à un accords et avons fait cause commune pour s'échapper de cette île.